brenda-greg
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Ce n'etais pas une femme...
On avait décidé, avec un copain de classe, de partir en voyage loin de la France quand nous aurions fini notre bac. A vrai dire, c’était la première fois que nous sortions de l’Europe. On avait choisit Bangkok comme destination car nous étions attirés par les plages et mon pote était dans une période de recherche spirituelle, il voulait se tourner vers le bouddhisme.
Arrivés à Bangkok, on prit un hôtel à la Khao San Road, c’est la rue touristique de Bangkok où tous les « routards » logent parce qu’il y a beaucoup d’hôtel bon marché. Le dépaysement était total et un peu inattendu. La rue était bourrée de touristes, australiens pour la plupart, et de jolies Thaïlandaise. On était très impressionné par la quantité de jolies filles au mètre carré. Fatigués par ce long voyage, on a décidé de se reposer la première nuit, repoussant la fête au lendemain. On se coucha donc dans notre chambre minuscule. On comprit vite, grâce au bruit que l’on pouvait entendre dans cet hôtel, que les nuits étaient très chaudes à Bangkok…
Comme promis, le lendemain on n’a pas attendu longtemps pour commencer à nous intéresser de plus près à la culture locale. On goûta tout d’abord la bière thaï. Attention, il y a deux marques qui se partagent le marché, la meilleure c’est celle avec l’étiquette jaune, si jamais. Il faisait tellement chaud, heureusement que ces bières n’étaient vraiment pas chères, on pouvait se désaltérer à notre guise. On s’était installés à une table en pleine rue. On pouvait bien observer les jeunes demoiselles qui allaient et venaient dans cette rue. Vraiment impressionnantes ces Thaïlandaises, elles avaient toutes un petit quelque chose qui les rendaient sexuelles. On leur donna d’ailleurs vite un surnom, on les appelait les Thailanbaises.
La chose qui nous surprit aussi, c’est que quand on essayait de leur faire de l’œil, elles répondaient avec un joli sourire de coquines. Ce peuple est vraiment très accueillant. A force de mater tous ces jolis petits culs, on commençait sérieusement à s’exciter. On décida alors de manger quelque chose dans le restaurant d’en face qui avait un balcon à l’étage. De là-haut, on s’était dit qu’on pourrait voir les décolletés plutôt que les fesses des filles. Il faut varier les plaisirs un peu non ?
La vue depuis le balcon était parfaite, on voyait quasiment toute la rue. On était en train de s’amuser à faire des signes aux filles dans la rue quand un gars, assis à côté de nous, nous aborda : « Vous êtes français ? » Il devait avoir la cinquantaine, il était ingénieur du son à Paris et il était venu en Thaïlande pour trouver « l’éléphant blanc ». Il était un peu bizarre, mais on discuta quand même un moment avec lui jusqu’au moment où il nous demanda : « Vous êtes pédés ? Vous savez moi ça me dérange pas. » Cette question nous énerva, on voyait vraiment pas ce qui pouvait lui faire penser ça. Jusqu’à preuve du contraire, on n’était pas pédés et en plus il aurait dû voir qu’on s’amusait à draguer les filles qui passaient dans la rue. On était tellement énervés par cette question qu’on décida de se casser de ce restaurant. En plus de ça, il faisait déjà nuit.
On se dirigea alors vers une boîte de nuit. A l’entrée, il y avait un type qui vérifiait les cartes d’identité des Thaïs. On s’est dit que ça devait être un endroit bien et qu’au moins, on n’aurait pas de problèmes avec des mineures. On entra dans cette boite, et là ce fut le choc : On n’avait jamais vu autant de filles dans une boite. Généralement, quand on sort dans notre ville, il doit y avoir deux tiers de gars pour un tiers de fille, là c’était le contraire. On était tout excité, et on se dirigea directement vers le bar. On pris vite fait quelques cul sec pour nous mettre dans l’ambiance. Il faut dire qu’on avait déjà pas mal bu avant, on était vraiment joyeux à ce moment. On se mit à danser et on fit quelques tours pour voir ce qui s’offrait à nous. Le choix était très difficile, vu la quantité.
Soudain, je vis mon pote s’approcher d’une vraie bombe. Ce salaud ! Il avait repéré la même que moi mais il avait été plus rapide. Je continuai à danser tout en surveillant ce qu’il faisait. Deux minutes plus tard, il revint vers moi et me dit : « Bon mon gars, moi je me casse ailleurs avec elle… à demain ! » Le salaud, elle était vraiment bonne cette fille, j’arrivais pas à comprendre comment il avait pu la séduire aussi rapidement, ça devait être la plus belle de toute la boite. Il se cassa et me laissa tout seul. Je me suis dis que je devais trouver une fille du même calibre. Je pris de nouveau à boire pour me donner du courage et repartis à la chasse.
Là, j’aperçus une fille qui me convenait parfaitement. Je m’approchai d’elle gentiment et à peine arrivé à ses côté elle me demanda : « Ton copain, il est parti avec ma copine. Il revient quand ? » Je lui dis que j’en savais rien. J’étais déjà content, je n’avais pas eu besoin de faire d’efforts pour engager la conversation. « Tu veux danser avec moi ? » lui dis-je. On se mis à danser serrés l’un contre l’autre. Elle était grande, presque aussi grande que moi, elle avait des gros seins qui avaient l’air siliconés, mais ça ne me dérangea pas. Elle portait un jean qui serrait son cul musclé. Elle avec une longue chevelure noire et sentait la rose. J’étais sous le charme. Je fis semblant de vouloir lui dire quelque chose à l’oreille et en profitai pour lui fourrer ma langue dans sa bouche par surprise. Elle ne fut pas surprise… Je dois dire que sa bouche était assez grande, par contre elle savait utiliser sa langue. Elle était tellement belle, j’étais sûr qu’elle devait être mannequin. Elle me dit que non mais que sa copine qui était partie avec mon ami faisait des photos de charmes. Je n’en doutais pas une seule seconde. Je continuai à l’embrasser. Elle glissa sa main vers mon sexe qui était déjà bien dur et se mit à le caresser par-dessus mon pantalon. Elle arrêta assez vite à ma grande déception. Je lui replaçai alors sa main sur la bosse de mon pantalon. Là elle me dit : « Non pas ici. Tout le monde me regarde. » Je n’ai pas compris ce qu’elle voulait me dire, j’étais bien d’accord qu’elle était très belle, mais de là à ce que tout le monde la regarde… Je décidai alors d’aller m’asseoir avec elle dans un coin où on pourrait continuer à s’amuser à l’abri des regards.
On discuta un peu, elle avait une voix un peu distinguée, ça ne me déplaisait pas. Elle gardait toujours sa main sur ma verge et me branlait par-dessus mon pantalon. A un moment, elle enleva sa ceinture et se mis à fouetter la table : « Tu aimes ça ? » Normalement je ne suis pas trop pour ce genre de chose, mais venant d’elle, j’étais prêt à faire un effort. Elle continua : « J’ai envie de coucher avec toi ce soir. Viens avec moi, je connais un motel. » Sans hésiter, j’acquiesçai. On sortit en vitesse de la boîte et elle m’emmena sur sa moto jusqu’à un motel. J’étais sûr que j’allais sûrement croiser mon pote qui avait dû aller au même endroit. On prit rapidement une chambre qu’elle paya tout de suite et on courut jusqu’à la porte.
A peine entrés dedans, elle se mis à genou devant moi et me déboutonna mon pantalon. Elle mit mon sexe dans sa bouche et me suça vigoureusement et profondément. Je la pris par les cheveux et je la tirai contre moi pour aller le plus loin possible au fond de sa gorge. Ca avait l’air de lui plaire. Elle s’enleva et me suça les couilles tout en me branlant. Puis, elle glissa l’autre main entre mes jambes jusqu’à mon anus. Elle commença à le chatouiller délicatement puis essaya d’y enfiler un doigt. Je l’arrêtai immédiatement, ce n’était pas désagréable, mais je ne suis pas adepte de ce genre de chose. Je lui dis : « Je veux te baiser. » Elle se jeta sur le lit et se mit à quatre pattes. Elle baissa son pantalon : « Vas-y ! Encule-moi ! » J’allais lui sauter dessus quand j’aperçus un truc bizarre. Cette femme avait une paire de couilles !!!!
Ce n’était pas une femme, c’était ce qu’ils appellent ici un ladyboy, c’est-à-dire un travesti. Je m’immobilisai un instant, le temps de me rendre compte de ce qui se passait. Elle me demanda s’il y avait un problème. A ma grande surprise, je continuais à bander. Je dois même dire que j’étais encore plus excité. Je n’avais jamais vraiment imaginé baiser un homme avant. Je me suis dis que personne n’était forcé de savoir ça et qu’il fallait essayer pour savoir si j’aimais ou pas. Je m’avançai vers elle, ou plutôt lui je devrais dire… Et sans réfléchir, je dirigeai mon sexe vers son anus. Il me pris ma bite dans sa main et m’aida à viser ce joli trou de balle. Je forçai un peu la porte maladroitement, car je n’avais aucune expérience dans la sodomie. Heureusement, ça ne lui fit pas mal, il devait avoir l’habitude. Une fois que je me trouvai complètement à l’intérieur de lui, il me dit : « Vas-y franchement, n’aie pas peur. » C’était là première fois que j’entendis sa vraie voix… Comme demandé, je me suis mis à l’enculer franchement. Il poussait des cris comme une femme, mais pourtant mes couilles tapaient contre les siennes. Je ne savais pas vraiment ce qui se passait, si c’était une fille ou un gars. A des moments, j’essayais de me convaincre que c’était une fille et à d’autre je me disais que son dos musclé et ses couilles m’excitaient pas mal. Quoiqu’il en soit, je prenais mon pied en l’enculant. Je le vis en train de se branler en même temps que je lui défonçais l’anus. Je ne sais pas pourquoi mais je pris à mon tour son sexe dans ma main et le masturbai. Il avait une petite bite très douce. Soudain je sentis qu’elle se durcit. Là, il se mit à crier comme un homme par contre. Sa bite se mis à se contracter ponctuellement et je sentis sa semence se déposer dans ma main. Le voyant jouir ainsi me fit monter au septième ciel et j’éjaculai dans son cul. On s’écroula tout les deux en même temps sur le lit. J’étais toujours dans son cul et je tenais toujours sa bite dans ma main. Il me dit : « Maintenant c’est à mon tour de t’enculer. » Cette phrase me fit peur. Elle eut pour effet de me faire retrouver tous mes esprits. Je me retirai et partis aux toilettes pour me nettoyer la main. Je n’arrivais pas à réaliser ce que j’avais fait. Tout se bousculait dans ma tête, je regrettai un peu ce que j’avais fait mais en même temps j’avais pris du plaisir.
Le lendemain, je revis mon pote. Je lui racontai mon histoire parce que j’avais besoin d’en parler. Celui-ci me dit qu’il lui était arrivé la même chose. La fille avec qui il était partit était aussi un ladyboy, ils étaient allés exactement dans le même motel. On fut dégoûtés pendant deux semaines des Thaïlandaises. Chaque fois qu’on en croisait une on avait peur que ce soit un transsexuel. Après un moment, on se dit qu’au fond, ces ladyboys n’étaient pas vraiment des hommes, et que pour la plupart ils n’avaient rien à envier aux femmes. Depuis, il nous est arrivé fréquemment à tout les deux d’avoir des relations sexuelles avec des transsexuelles.
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premiere fois
- Mlle Messina ?
- Oui ?
- Un petit cadeau pour vous… - dis-je en lui tendant l’enveloppe avec le sourire.
- Merci. - Répondit-elle en me rendant le sourire, avec un regard à damner un saint
Sur le point de repartir, elle m’interpelle :
- Vous pourriez entrer une minute ? j’aurai besoin d’un petit service
- Euh, oui, si c’est dans mes cordes…
- Oh, j’en suis certaine…- me dit-elle avec un petit sourire malicieux
Je me dis « si elle me drague pas, ça y ressemble furieusement, en tout cas », et je pénètre dans son appartement. C’est petit mais très bien arrangé, un vrai petit nid douillet.
- J’aurais besoin que vous m’attrappiez un petit sac sur l’armoire, il doit être vers le mur, plutôt vers le fond…- me dit-elle
- Je vais voir ça, - répondis-je, me disant qu’elle fait pratiquement ma taille, ce qui semble confirmer que le « service » était juste une excuse pour établir le contact…
Elle avance une chaise pour que je monte dessus afin d’atteindre le sac… En montant dessus, la chaise bouge un peu et je sens, d’un coup, sa main sur ma fesse, comme pour me retenir
- Ne tombez pas… - me dit elle toujours avec un sourire
- Vous me rattrapperez sinon… - répondis-je en me redressant… je remarque que sa main est restée sur mes fesses. Je décide de ne rien dire et commence à fouiller les bricoles sur l’armoire
- Joli petit derrière. - me dis-elle, commençant à les tâter comme pour vérifier leur fermeté
- Merci, je suis sur que le votre n’est pas mal non plus, - répondis-je en redescendant en arrière, n’ayant pas trouvé le moindre sac. Pendant que je descends, me penchant en avant je sens ses doigts se glisser dans ma raie et, à travers mon jean je la sens appuyer sur mon anus . je me tourne vers elle et on se retrouve pratiquement collés l’un à l’autre, sa main toujours tenant fermement ma fesse, le bout de ses doigts toujours appuyés fermement sur mon anus à travers le pantalon
- Il me semble qu’on a la même envie tous les deux, - continuai-je
- Hummmm… - murmura-t-elle en se blotissant contre moi…- et tu sais de quoi j’ai envie en ce moment ?
- Dis-moi…
- J’ai très envie qu’un beau jeune homme suce mon petit clito.. là maintenant… - murmure-t-elle dans le creux de mon oreille, comme si personne ne devait l’entendre
- Je serais ravi de le faire, - lui dis-je à voix tout aussi basse, commençant à être vraiment à l’étroit dans mon pantalon
- Mais je te préviens, je suis une fille un peu spéciale… j’ai un gros clito très sensible…
- Ah ?..
- Mais si tu me fais ce que je veux, je te ferai l’amour comme aucune fille ne t’a fait jusqu’à maintenant
- Glp… vu comme ça… je ferai tout ce que tu voudras,
- Hummm… - murmura-t-elle dans mon oreille, complètement collée à moi. Je sens sa chaleur enivrante.. - vraiment tout ?
- Dis le et je serai heureux de le faire
- Bien, - dit-elle avec son sourire si craquant, - on va commencer par déshabiller ce jeune homme…
Je m’exécute, et me voici rapidement en tenue d’Adam devant elle qui, non seulement n’en perd pas une miette, mais profite pour caresser diverses parties de mon corps, si simplement offertes
- Bien, allonge-toi sur le dos… - me dit-elle, indiquant son lit derrière moi
Je m’allonge et elle enchaine :
- bien, ferme les yeux maintenant …- ce que je fis, et je sentis le lit s’enfoncer indiquant qu’elle est montée dessus, - ne triche pas !, - continue-t-elle, en s’avançant et en m’enjambant, toujours debout sur le lit. Ses pieds sont maintenant des deux côtés de mon torse. Elle s’acroupit, je sens ses genoux effleurer les deux côtés de ma tête, sa main se pose sur mes yeux, - pas encore… - et, agenouillée ainsi, à cheval au dessus de ma tête, elle me dit :
- ouvre la bouche maintenant…
Je m’exécute, sentant un léger parfum musqué, m’attendant à embrasser son doux minou d’un instant à l’autre. Elle relève légèrement ma tête de sa main gauche et je sens comme un doigt, chaud et mou glisser entre mes lèvres, un doigt plutôt épais même. Je le prend en bouche quand l’image me frappe : UN PENIS !
J’ouvre les yeux et je vois un spectacle unique. Ses magnifiques yeux, souriants, me fixent avec malice et douceur, elle me sourit, avec sa magnifique poitrine juste dessous, puis ce ventre si doux, le galbe de ses hanches qui entament lentement une ondulation, un mouvement de va et vient, faisant glisser son sexe dans ma bouche pendant qu’elle tient ma tête d’une main et guide son penis de l’autre. Pendant que mes lèvres enserrent sans même y penser, cette sucette, la main tenant ma tête commence à me faire faire un mouvement réciproque, et, je ne sais plus quoi penser. Hetero, je ne m’imaginais pas dans cette position, et, en même temps, c’est l’expérience la plus excitante que j’ai connu. Je sens sa queue grossir et se durcir dans ma bouche et, sans m’en rendre compte, mes mains se retrouvent sur ses fesses, accompagnant leur mouvement de va et vient, tandis que, de ma tête, je commence à bouger seul, sans être emmené par sa main. Je vois sur son visage se dessiner un sourire, un sourire de victoire presque, elle sait que je suis mordu et qu’elle fera ce qu’elle voudra de moi
- Bieen - dit-elle – continue comme ça… - et le mouvement s’accentue alors que sa queue commence à prendre des proportions impressionnantes et qu’elle commence à me masturber
Puis, elle se relève, et je dois relacher son penis de ma bouche, à regret, ce qu’elle constate et, souriante, elle me dit :
- relax, tu en auras encore…- Puis elle se retourne et, en position de 69 elle commence à s’occuper plus sérieusement de mon pénis pendant que je recommence à téter sa magnifique queue. Je sens ses doigts agiles glisser vers mes testicules et plus loin, ou elle commence à masser mon anus. Cet exercice est nouveau pour lui et elle le sent :
- humm, tu es si serré, j’aime…
Réalisant où ça nous mène, je répondis :
- je suis vierge de ce côté-là
- bien, on va bien s’amuser, - dit-elle d’une voix enjouée, et je sens quelque chose de frais couler entre mes fesses. Puis, elle enfonce délicatement un doigt et commence à me masser la rondelle… de l’intérieur. Une sensation délicieuse, combinée avec le plaisir que j’ai de sucer sa queue magnifique, je me retiens difficilement de jouir
- Humm… tu es si étroit, je veux en profiter au maximum… - dit-elle en se rélevant, et, se mettant de face par rapport à moi, en enfonçant plus autoritairement sa queue dans ma bouche.. - vas-y, suce-moi.. plus vite…- J’accélère mes mouvements, insistant sur le gland et je la sens se tendre
- hummmm… ouiiiiii… comme çaaa.. ouiiii… - et, d’un coup, je sens un jet de liquide chaud dans ma bouche… elle tient ma tête en continuant à éjaculer, pendant que moi, je continue à sucer goulument, essayant de ne pas en perdre une goutte
Quand elle a fini de jouir, elle me dit :
- continue à me sucer, je voulais jouir une première fos pour pouvoir durer plus longtemps ensuite – et je continuais de déguster ce pieu délicieux, nettoyant chaque recoin de ma langue, et le sentant se durcir de nouveau…. En une minute, il avait retrouvé tout sa splendeur…
Elle se retire de ma bouche et enfile une capote, me demandant de me mettre sur le dos, jambes écartées. Je m’allonge, un peu hésitant, réalisant saulement qu’elle va vraiment m’enfoncer cet engin si beau, si dur, si GROS, dans mon petit cul vierge. Elle vient au dessus de moi, et je sens ses doigts lubrifier et masser un peu ma rondelle, comme pour l’assouplir, puis, quelque chose de bien plus gros qu’un doigt vient appuyer délicatement sur mon anus offert. J’ai comme l’impression qu’il va cèder, s’ouvrir tout seul… sensation délicieuse et nouvelle pour moi, puis, elle se penche au dessus de moi, et m’embrasse à pleine bouche.. je sens sa langue pénètrer mes lèvres, commencer à remuer délicieusement pendant qu’en même temps, son pieu s’enfoce dans mon anus, lentement mais surement. Je l’enlace dans mes bras, noyé dans le délice de ce corps qui me pénètre par les deux bouts, qui me donne l’impression de m’envelopper comme un boa qui tient sa proie, mais d’une manière enivrante, tellement fabuleuse que la seule chose qui me vient à l’esprit est :
- ENCORE !!!
Elle arrive au fond et me fixe de ses yeux, si doux, puis commence à me faire l’amour, d’abord lentement, délicatement.. je suis, après tout, sa pucelle aujourd’hui… et elle continue ses aller-retours de manière ample, lente que je sente chaque millimètre de cette queue, si magique, qui fait de moi son esclave, un peu plus à chaque instant. Peu à peu elle accélère le mouvement, et, bientôt, elle me fait l’amour virilement, avec force, comme si elle voulait défoncer cette rondelle où elle est la première à s’enfoncer.
Elle continue à me faire l’amour pendant longtemps, changeant de position, prenant son pied pendant que moi, je ne sais même plus ou j’habite… me disant que si le paradis existe, le mien sera d’être sa chose pour l’éternité.
Finalement, elle se tend, et je sens venir un spasme… elle se retire, enlève sa capote et m’enfonce in extremis son missile de plaisir dans la bouche pour jouir encore une fois dedans. Je ne réalise pas de suite le sentiment de vide qu’elle a laissé dans mon ventre et je la suce pour extraire jusqu’à la dernière goutte son sperme et nettoyer son memebre et, disons-le, profiter jusqu’à la dernière seconde de cet engin magnifique.
Enfin rasasiée, elle se blotit contre moi et enchaine :
- alors, ça t’a plu ?
- Et comment… j’ai adoré. Je recommencerais tout le temps si je pouvais
- Hé hé, il faudra repasser me voir alors ?
- J’espère bien – lui dis-je,
Après un petit moment, elle se lève :
- bon, excuse-moi, mais là, il faudrait que j’y aille…
- euh, OK – et je me lève à mon tour, me rhabille, réalisant seulement quel traitement a subi ma rondelle que je sens plutôt douloureuse.. en fait, j’ai l’impression d’avoir un hall de gare à la place de l’anus… Rhabillé, je l’embrasse une dernière fois et je la quitte, pas trop sûr de tout ce que je viens de vivre, mais heureux comme un pape.
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moi aussi j'ai envie de la sucer avant de LA faire venir en moi...
tu me la prete ta sucette ?
belle bite bonne a sucer