brenda-greg
texte erotique
J’aimerais vous raconter ma dernière aventure en date. Je suis étudiante en droit, et l’année a été plutôt fastidieuse : amphithéâtre, révisions, partielles… bref les études. Il y a quelques jours de ça, en plein cours de droit civil (2h !) je commençais à m’ennuyer ferme. Mes camarades de classe étaient allé faire les boutiques et j’avais été désignée pour prendre le cours. On se relaie souvent comme ça, cela nous permet de décompresser de temps en temps.
Mais ce jour-là, je n’étais vraiment pas motivée pour suivre le cours, la seule chose qui me tenait éveillée c’était le prof, un homme d’une quarantaine d’année, très craquant. Je m’étais mise au fond de l’amphi, un mec que j’avais déjà aperçu était assis à côté de moi. Il avait l’air très concentré et prenait des notes. Il n’y avait pas grand monde à l’arrière. A part lui, la personne la plus proche se trouvait à une dizaine de sièges sur ma gauche, un autre gars que je n’avais jamais vu, plutôt pas mal d’ailleurs. J’essayais en vain de me concentrer, mais tout ce que j’avais en tête c’était mon prof en train de me prendre dans un couloir ou sur un bureau… je m’imaginais souvent m’envoyant en l’air avec lui.
Je me rendis soudain compte que j’avais très chaud et que j’étais en train de me caresser les cuisses avec une de mes mains pendant que je rêvassais. Cela n’a d’ailleurs pas échappé à mon camarade qui me matait du coin de l’œil. Gênée je retirai brusquement ma main pour la reposer sur la table. Mais le mal était déjà fait. Le garçon, Julien, ne cessait de lancer des coups d’œil vers mes jambes, comme s’il essayait de voir sous ma petite jupe. Cela me mit un peu mal à l’aise mais ça m’excitait à la fois. Je m’amusai à croiser et décroiser mes jambes, quand soudain, Julien posa une main sur ma cuisse.
Je lui lançai un regard un peu confus, mais il ne cessait de regarder le prof, l’air absorbé par ce que ce dernier expliquait. Je me prêtai au jeu et regardai moi aussi en direction de l’estrade, la vue me donna encore plus chaud. Julien commença à me caresser doucement la cuisse, faisant de petits mouvements remontant du genou jusqu’à la frontière de ma jupe sans jamais passer dessous, de l’extérieur vers l’intérieur, et hop il redescendait. C’était très agréable, je commençai à vraiment me détendre, quand d’un mouvement ferme, il mit ma jambe sur ses genoux. Je me retrouvai jambes écartées et jupe remontée, laissant apparaître le début de mon string bleu turquoise en dentelle. Il reprit ses caresses en remontant cette fois tout en haut de mes cuisses, s’arrêtant au bord de mon string. Je commençai à me sentir très excitée et quelque peu frustrée, mes seins pointaient à travers mon haut moulant et j’avais une envie folle de les caresser. D’une main discrète je passai lentement sur ma poitrine tendue, ce qui dut plaire à Julien qui se permit d’avancer un peu plus son chemin.
Du bout des doigts, il me caressa le haut du sexe par-dessus mon string, exerça de petites pressions à hauteur de mon clitoris. Je me retenais de gémir mais ma respiration s’accélérait dangereusement. Maintenant il me frottait toute la chatte avec la paume de sa main, lentement mais avec force ; il me souffla à l’oreille que j’étais toute mouillée à travers mon string, je ne pus m’empêcher de remuer légèrement le bassin sous l’action de ses caresses. Je voulais qu’il aille plus loin j’avais envie de plus de caresses.
Soudain, je sentis un souffle dans ma nuque. Je me retournai vivement et je vis l’autre garçon maintenant à côté de moi. Je ne l’avais pas vu arriver dans l’excitation du moment, mais lui avait dû bien voir ce qui se tramait à quelques sièges. Je me retrouvai encerclée par deux garçons, les cuisses écartées, la jupe relevée, la main de l’un d’eux déjà sur ma chatte à me chauffer. L’autre garçon prit mon autre jambe sur les siennes et se joignit doucement à Julien, qui écarta mon string et découvrit ma chatte entièrement épilée et luisante de mouille. Le nouveau venu me caressa en premier avec deux doigts, passant sur mon clitoris et jouant avec.
Julien prit ma main et la fit glisser dans son pantalon défait. Je sentis son sexe déjà bien dur et m’employai à le caresser à mon tour. Je le branlai doucement pendant qu’il m’introduisait un premier doigt, l’autre garçon s'occupant toujours de mon clitoris. Julien me doigtait maintenant avec deux doigts, l'index et le majeur, et je faisais un effort surhumain pour ne pas crier de plaisir. J’accélérai ma branlette et je sentis Julien plus dur que jamais. L’autre caressait d’une main mes seins sous mon t-shirt et se branlait de l’autre. Je décidai de l’aider un peu et entrepris de m’occuper de sa bite avec ma main libre. Il en profita pour retourner vers ma chatte en feu et, se joignant à Julien, m’introduisit lui aussi un doigt. Je coordonnai mes deux mains pour les astiquer du mieux que je le pus en essayant d’être quand même discrète, mais personne ne sembla s’apercevoir de notre petit passe-temps.
Ces deux bites dans mes mains, j’aurais voulu les sucer, les pomper, les avaler, mais cela semblait impossible. Les deux garçons travaillaient ma chatte à merveille en me doigtant, me caressant le clitoris et les lèvres. Maintenant Julien s’attaquait à mon petit trou. Il mit un de ses doigts dans ma bouche, je le lui suçais avec envie, puis il retourna vers mon petit trou afin de l’humidifier, passa ensuite sur ma chatte et recueillit de la mouille pour que je sois lubrifiée au maximum. Il me mit son majeur dans le cul et commença à me le doigter. Je remuai férocement le bassin, prête à exploser d’une minute à l’autre, je les branlai très fort et eux me doigtaient très vite. Soudain, j'ai senti que ça arrivait. J'ai regardé Julien pour l’alerter et il me plaqua une main contre la bouche afin d’étouffer mon cri. J'ai joui en un long spasme, m’efforçant de ne pas mordre Julien, qui me baissa vigoureusement la tête entre les cuisses. Je n’eus d’autre solution que de le boire jusqu’au bout, un liquide épais et chaud, tandis que je sentis un autre liquide chaud se déverser sur ma chatte et mes cuisses : l’autre garçon m’avait giclé dessus pendant que finissais de pomper Julien.
A peine avons-nous eu le temps de nous remettre de nos petits ébats que le prof annonçait la fin du cours. Mes amies m’en ont voulu, mais je ne sais pas si c'est parce que je n’ai pas pris le cours ou parce qu’elles auraient aimé être à ma place ce jour-là…
Il me semble que vous aimez l'ecole on continue alors
Cela se passa au lycée alors que j’étais en terminale. J’avais une prof d’histoire que je nommerai Agnès pour ne pas qu’elle puisse être reconnue. Elle avait 31 ans à l’époque et était une très belle femme. De long cheveux noirs souvent attachés par une queue de cheval, des yeux marrons pétillants, un petit nez et une bouche fine. Ses seins étaient petits mais elle avait une taille de guêpe. Ses fesses étaient fermes et rebondies et étaient prolongées par des jambes élégantes et fines. Elle portait fréquemment des robes légères ou des pantalons moulants sous lesquels on devinait souvent un string. Sa tenue qui me plaisait le plus était une robe bleue qui se boutonnait par devant et nouée à la taille par une ceinture. Cette robe était suffisamment décolletée pour nous permettre d’apercevoir ses seins quand elle se penchait en avant.
Nous étions tous sous le charme de cette femme et nous passions la plupart du cours à bander en la voyant bouger ses petites fesses lorsqu’elle écrivait au tableau. Je me souviens d’une fois où, alors qu’un élève passait au tableau pour présenter un exposé, elle s’était assise à une table à coté de la mienne, les jambes croisées et décalées de mon côté. J’ai passé toute l’heure à admirer cette paire de jambes si magnifiques. Nous rêvions tous d’elle et elle était très souvent présente lors de mes plaisirs solitaires.
La fin de l’année approchait et c’était le dernier cours avec elle. Elle nous rendait le dernier devoir avant le bac. J’avais obtenu vingt sur vingt, ce qui me valut ses félicitations. A la fin de chaque cours, elle remplissait un cahier de suivi et c’était moi qui devais le récupérer ce jour-là. Je m’en souviens comme si c’était hier ; c’était la dernière heure de cours et elle portait cette fameuse robe bleue. J’attendais debout à côté de son bureau qu’elle ait terminé. Elle était plus longue que d’habitude à remplir ce cahier. J’en profitais pour la regarder : elle était vraiment trop belle.
En regardant dans son décolleté je m’aperçus que le bouton du haut de sa robe était détaché. Je pouvais ainsi admirer ses seins retenus par un soutien-gorge rouge en dentelle. Mes yeux étaient fixés sur sa poitrine et l’effet s’en fit vite sentir: je commençai à avoir une petite érection. Puis mon regard descendit sur ses cuisses ; là aussi, le bouton du bas était détaché et sa robe était un peu remontée. J’avais une vue magnifique sur ses cuisses qui me paraissaient si belles. Cela acheva de renforcer mon érection. Je bandais alors comme jamais. Je venais de me remettre à regarder ses seins quand elle me tendit le cahier.
« Voilà, tu peux y aller. »
Je mis plusieurs secondes à réagir et quand je voulus prendre le cahier, elle le retint et me demanda :
« C’est moi qui te mets dans cet état ?
- Comment ? Euh, de quoi parlez vous?
- De ça, me répondit elle en caressant la bosse qui dépassait de mon pantalon.
- Euh… non… enfin…, balbutiai-je.
- N’aie pas l’air si gêné, je me doute bien que je vous fais un peu d’effet.
- Il faut dire que vous êtes si belle et si….
- Sexy ?
- Oui... c’est ça… »
Elle recula sa chaise, la tourna vers moi et se rassit en croisant les jambes à moins d’un mètre de moi. D’un côté, je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jambes. Mais de l’autre, je ne savais que dire et que faire.
« Tu me trouve excitante ? »
Je n’osai pas répondre.
« Allons réponds-moi, n’ai pas peur. ça me plait quand on me dit que je suis attirante.
- Vous êtes si … Vous n’imaginez pas à quel point je peux penser à vous.
- Tu t’es déjà masturbé en pensant à moi ?
- Oui… répondis-je timidement.
- Et je faisais quoi ?
- Vous m’initiiez à l’amour.
- Tu n’as pas de copine ?
- Non…
- Et je suppose que tu es encore puceau…
- Oui… »
Elle me regardait droit dans les yeux et frottait ses jambes l’une sur l’autre.
« Tu as déjà vu le corps d’une femme? Je veux dire, en vrai.
- Oui, à la plage…
- Je veux dire, devant toi et pour toi ?
- Non…
- Et tu en as envie? me demanda-t-elle en caressant ma bosse avec son pied .
- Oh oui madame !
- Tu aimerais que ça soit moi ?
- Evidemment… Mais pourquoi feriez-vous cela ?
- Disons que tu es mon meilleur élève et que ce serait ma récompense. Alors ? me redemanda-t-elle en appuyant sur mon sexe avec son pied.
- J’accepte sans hésiter. - Très bien. »
Elle se leva et alla fermer la porte à clé. Elle revint s’asseoir sur le bord de son bureau.
« Regarde et profite ! »
Elle commença à déboutonner sa robe par le bas. Un à un, elle fit sauter les boutons pour arriver à sa ceinture. Je pouvais admirer ses cuisses qui me semblaient si fermes. Puis elle s’attaqua aux boutons du haut. Peu à peu apparut son soutien-gorge. Comme je l’avais vu, il était en dentelle rouge et mettait extrêmement bien en valeur ses petits seins. Puis j’aperçus son nombril et son ventre. Il n’y avait plus que la ceinture qui tenait sa robe. Elle se leva, s’approcha de moi, la dénoua et elle laissa tomber sa robe sur le sol. Son corps était sublime. Je vis alors un charmant string rouge qui cachait son intimité. Elle posa ses mains sur mes épaules et me dit en me regardant avec un air malicieux :
« Alors, tu me trouves comment ?
- Belle, comme c’est pas Dieu possible. »
Elle se recula un peu et dégrafa son soutien-gorge. Elle me montrait ses seins. Ils n’étaient pas très gros mais bien faits avec de petits tétons. J’étais aux anges: ce corps que tant de fois j’avais imaginé dans mes rêves, je l’avais devant moi. Elle passa ses mains sur ma poitrine puis les mit sur ses hanches. Elle passa ensuite ses mains sous son string et le fit glisser le long de ses jambes. Je pus alors admirer la partie la plus intime de son corps. Un léger triangle de poils entourait son sexe. Voyant que je ne quittais pas cette région du regard, elle passa sa main dessus comme pour se caresser.
« ça te plait ?
- Vous ne pouvez imaginer !
- A la vue de ton pantalon, si, je peux imaginer ! »
Je bandais comme un fou ; je mourais d’envie de me branler. Elle se rassit sur sa chaise, croisa les jambes.
« A toi maintenant, déshabille-toi ! »
Je m’exécutai machinalement, trop heureux de pouvoir libérer ma bite. En trois secondes, je me retrouvais aussi nu qu’un ver, la queue droite comme un I. Je restai interdit, ne sachant que dire. Au bout de quelques secondes, elle me prouva que je n’étais pas au bout de mes surprises.
« Allons, je ne vais pas te laisser dans cet état là. Assieds-toi là. »
Elle se leva et me céda sa chaise. Je m’assis à sa place. Après m’avoir regardé droit dans les yeux pendant quelques secondes, elle s’accroupit devant moi. Je compris alors, et un sentiment mêlé de panique et de bonheur m’envahit. Elle commença par caresser ma poitrine avec le bout des ses doigts pour s’approcher doucement de mon sexe. Puis elle caressa mes jambes en se rapprochant au fur et à mesure de mon entrecuisse. Je la regardais faire, ne sachant que dire.
« Allons détends-toi ! Je ne vais pas te faire de mal, bien au contraire.
- Je sais bien, mais c’est la première fois qu’une femme me caresse et je suis un peu stressé.
- Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer. »
Elle prit alors ma bite dans sa main et elle se mit à la masturber lentement. Je ne pus retenir un petit cri de surprise. Plus d’une fois je m’étais déjà branlé mais jamais je n’avais ressenti cela. Au bout de quelques mouvements, elle se mit à me sucer. Elle enveloppa de ses lèvres mon gland et entama un léger va-et-vient avec sa bouche. Une de ses mains continuait à branler la base de mon sexe tandis que l’autre caressait mes testicules. Je sentais le plaisir monter en moi. J’essayais de résister mais je ne tins pas longtemps. A peine une minute après qu’elle eut commencé à me lécher, je ne pus retenir ma jouissance.
« Oh, ça vient ! ça va partir ! »
Elle arrêta de me sucer mais continua de me masturber. Je me mis à jouir ; j’éjaculai comme jamais cela ne m’était arrivé. Alors que je criais mon plaisir, mon sperme se répandit sur le sol. Elle branla ma bitte redevenue molle encore quelques secondes alors que je me remettais de cette pipe fabuleuse.
« Alors, tu as trouvé ça comment? me demanda-t-elle en se relevant.
- C’était fabuleux. Mais je suis désolé d’être parti aussi vite, m’excusai-je un peu honteux.
- Ce qui compte, c’est si toi tu as aimé et tu as pris du plaisir.
- De ce côté-là, c’était mieux que ce que je pouvais imaginer.
- Alors, tant mieux, que tu gardes un bon souvenir de ta première pipe. »
A ces mots, elle ramassa son string. Au moment où elle allait le remettre, je ne pus m’empêcher de l’arrêter ; bien que j’avais déjà eu plus que tout ce que j’avais pu imaginer avant cette heure, j’en voulais encore plus.
« Attendez !
- Qu’y a-t-il? demanda elle en se retournant.
- Je…euh… vous m’avez donné tellement de plaisir…
- Et ?
- Laissez-moi vous en donner aussi… ou au moins essayer…
- Tu veux quoi exactement ?
- Laissez-moi vous faire un cunnilingus pour vous remercier.
- Tu n’en as jamais fait et tu crois que tu me donneras du plaisir ?
- Vous me dirigerez, vous m’indiquerez les parties les plus sensibles de votre corps. Je vous en prie.
- D’accord, répondit-elle après quelques secondes. Après tout, je ne risque rien à essayer.
- Merci beaucoup.
- Allez lève-toi de cette chaise, que j’y prenne place. »
Je me levai immédiatement. Elle s’assit à son tour et écarta les jambes. Je m’agenouillai devant elle en détaillant des yeux son corps magnifique ; elle était la perfection même. Me voyant hésitant, elle m’invita à commencer :
« Commence par découvrir mon corps, caresse-moi. »
Je m’exécutai ; je posai mes mains dans son cou et du bout des doigts, je glissai jusqu’à ses seins. Je les contournai par l’extérieur pour glisser dessous et remonter sur ses tétons. Ils étaient petits et roses, tendus vers moi. Je jouai avec eux, les titillant avec mes pouces. Puis j’approchai ma bouche de l’un d’eux et je me mis à le sucer goulûment. Un léger frisson la traversa mais elle continuait à me regarder fixement. Après avoir joué avec l’un, je m’occupai de son autre sein. Naturellement, je promenais mon autre main dans son dos en descendant un peu plus à chaque nouveau passage. Puis je descendis ma bouche à son nombril en couvrant son ventre de baisers. Elle se laissait aller sous mes baisers, ferma les yeux et pencha la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure. Voyant cela, je m’enhardis alors et je descendis ma bouche vers son pubis.
Avec mes doigts, je caressais ses lèvres humides qui s’écartaient maintenant. Ma langue s’affairait sur ce que je pensais être son clitoris. Etant donné les soupirs qu’elle laissa échapper, j’eus la confirmation de toucher son bouton de plaisir. Elle posa ses mains sur ma tête et l’appuya sur son sexe. Je suçai alors ce bout de chair si sensible tout en reprenant ses seins à pleines mains. Au bout de quelques instants, elle descendit ma tête pour que ma langue se retrouve sur ses lèvres. Je me mis à les lécher goulûment de haut en bas, me délectant de la cyprine qui coulait de son organe. Petit à petit, j’entrai un peu plus ma langue dans sa fente. Puis je l’écartai carrément avec les doigts pour atteindre le plus profond que je pouvais. Ses soupirs étaient plus prononcés et elle commençait à pousser aussi des petits cris de jouissance. Je levai la tête une seconde et je la vis en train de se caresser les seins. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts et m’encourageait à continuer :
« C’est très bien, continue. Glisse un ou plusieurs doigts dedans. »
J’obéis et je rentrai mon index dans ce trou chaud et humide. Etant donné la douce sensation que j’éprouvais, je m’imaginais le plaisir d’y glisser mon sexe. Elle s’ouvrait au fur et à mesure et j’eus tôt fait d‘y glisser trois doigts. Je lui prodiguais un mouvement de va-et-vient avec mes doigts tandis que ma bouche se remettait à sucer son clitoris. Ses soupirs s’accélérèrent alors, ses cris se firent plus nombreux et plus forts ; elle approchait de l’orgasme. Soudain, son vagin se contracta, elle se raidit sur sa chaise et poussa un long râle de plaisir. Je continuai mon action sur son sexe brûlant pour l’accompagner dans son orgasme. Au bout de quelques secondes, alors qu’elle reprenait son souffle, elle me félicita :
« Bravo ! Pour quelqu’un qui n’a jamais fait ça, tu t’en es très bien sorti ! Je dois avouer que tu m’as donné beaucoup de plaisir…
- Merci. C’était aussi très agréable pour moi de voir que je vous faisais du bien. »
J’étais toujours accroupi devant elle, mais je m’étais redressé un peu et elle pouvait voir ma queue qui avait repris de la vigueur.
« Je vois que tu es toujours d’attaque… Une telle vigueur ne doit pas être perdue. »
En voyant ses yeux pétiller, je compris ce qu’elle voulait dire. J’allais enfin faire l’amour à une femme. Le stress se mit à m’envahir. Elle s’en rendit compte et me rassura :
« Nous allons faire l’amour ensemble et je suis sûre que tu vas me donner beaucoup de plaisir… »
Cette phrase résonne encore dans ma tête. Je ne sus quoi répondre, la laissant prendre toutes les initiatives. Elle se releva et alla s’asseoir sur le bord de son bureau écartant largement les jambes. Je vins me positionner devant elle et quand elle me tendit ses lèvres, je me mis à l’embrasser passionnément. J’étais collé contre elle et je sentais mon gland contre son sexe humide. Mais je ne voulais rien précipiter, je me contentais de la caresser. Elle en faisait de même, appuyant souvent sur mes fesses pour augmenter la pression de mon sexe sur sa chatte. Ce petit jeu dura quelques minutes et ma queue était dure comme du bois. C’est elle qui décida de la suite.
« Allez, il est temps que tu deviennes un homme maintenant. »
Elle prit ma bite dans sa main et colla mon gland sur l’entrée de son vagin. Je n’eus aucune difficulté à entrer en elle. Quelle agréable sensation que de sentir ma queue dans son vagin ! J’entamai un va-et-vient très lent pour découvrir à mon rythme ces sensations nouvelles et ce ne semblait pas lui déplaire. Puis je pris confiance en moi et j’accélérai peu à peu le rythme. Ce faisant, elle allongea son dos sur le bureau et m’enserra de ses jambes. J’avais une vue imprenable sur ses seins et je ne me privais pas pour les caresser et les embrasser. Avec ses jambes, elle imposait son rythme et moi je me laissais guider. Elle décida ensuite de changer de position. Je me retirai alors, elle se releva et se tourna. Elle me présentait ses fesses et se penchait en avant sur le bureau. Ecartant un peu les jambes, elle reprit ma queue et la remit devant sa chatte. Je m’introduisis alors franchement en elle, lui faisant échapper un soupir. Je repris mon mouvement tenant dans mes mains tantôt ses hanches, tantôt ses seins. Ma respiration s’était fortement accélérée alors qu’Agnès poussait de temps en temps de petits cris. Je la martelais franchement, mes couilles tapant sur ses fesses. Je sentais le plaisir monter et je faisais tout pour durer encore.
Au bout d’un moment, je lui annonçai que j’allais bientôt jouir. Elle me dit de me retirer. Se tournant vers moi, elle me demanda de m’allonger sur le bureau. Je m’exécutai et elle vint me chevaucher mais sans laisser entrer ma queue en elle. Elle se frottait doucement, je suppose pour caresser son clito avec le bout de mon gland. En tout cas, elle semblait beaucoup apprécier. Cela me permit de me calmer un peu. Puis, voyant que je l’attendais, elle s’empala sur moi et je pus à nouveau sentir ma queue bien au chaud dans son vagin. Elle commença par de petits mouvements d’avant en arrière alors que je lui caressais les cuisses et les fesses. Elle baladait ses mains sur mon torse ou se caressait les seins. Le rythme s’était un peu accéléré. Puis elle prit ma tête dans ses mains et me la releva pour que je suce ses tétons. Je me ruai dessus comme un nouveau-né. Je sentais que j’étais près de tout lâcher et je le lui annonçai. Elle relâcha ma tête, mit ses mains derrière la sienne, et se cambra au maximum pour faire ressortir ses seins. Je pris ses fesses à pleines mains et je les pétris de toutes mes forces. Elle accéléra le rythme pour m’emmener à l’orgasme. Je me mis à jouir dans un grand râle et je déchargeai mon sperme au fond de son vagin dans de puissants jets. Après cela, tout en ralentissant son mouvement, elle se pencha sur moi et m’embrassa longuement.
« Tu as aimé ?
- C’était fabuleux. Je n’ai jamais rien senti d’aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.
- Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.
- ça oui, je ne suis pas près de l'oublier ! »
Après cela, elle m’embrassa une dernière fois et se leva de moi. J’en fis autant. Alors qu’elle se rhabillait, je restais immobile, contemplant ce corps si beau et qui m’avait procuré tellement de plaisir.
« Je peux vous poser une question...
- Oui, bien sûr.
- Est-ce que vous, vous avez aimé ?
- Tu t’es bien débrouillé pour une première fois...
- Enfin, je voudrais savoir si vous avez joui...
- Quand tu m’as fait ton cunni, oui, j’ai eu un orgasme.
- Oui, mais après, quand nous avons fait l’amour ?
- Non, quand tu m’as pénétrée, je n’ai pas atteint l’orgasme. Mais j’ai quand même pris du plaisir. Tu sais, une fille, ce n’est pas comme un mec, ça ne jouit pas à coup sûr. Et il n’y a pas que la pénétration qui compte pour une femme, c’est l’ensemble de l’acte. C’est pour ça qu’il ne faut pas négliger les préliminaires. Mais je ne me fais pas de souci pour toi, tu vas vite apprendre.
- Je ne sais comment vous remercier...
- En ne parlant de cela à personne. Et en n’essayant pas de vouloir recommencer avec moi. Nous avons passé un moment fort, mais il n’y aura pas de lendemain.
- D’accord, je vous le promets. »
Je me rhabillai rapidement et nous quittâmes la salle. Je la regardai s’éloigner avec son déhanché habituel et si sensuel.
Je ne l’ai jamais revue après ce moment si important pour moi. Mais plus d’une fois je me suis masturbé en pensant à elle. Je ne suis pas près d’oublier cette femme...
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TRES BELLE SUCEUSE
hum la pipe quelle regal....
ne change pas de position j arrive
il faut nous en montrer + SVP
tu a bien raison,je dirais plutot une petite chienne....
big kiss
oh le bel abricot qui ne demande qu'a être ouvert pour laisser passer le manche ,pour être plus précis le mien...
en voila une belle salope